Choisir ses ailes …

Pas toujours évident de s’y retrouver dans le monde du kite et pas uniquement quand on débute. Le marché a littéralement explosé ces dernières années et c’est loin d’être fini. Freeride, freestyle, foil, wakestyle, wave riding, bigair, snowkite, montainboard, format race, … Autant de pratiques qui nécessitent du matos adaptés, surtout si on veut pousser […]

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Pas toujours évident de s’y retrouver dans le monde du kite et pas uniquement quand on débute.

Le marché a littéralement explosé ces dernières années et c’est loin d’être fini. Freeride, freestyle, foil, wakestyle, wave riding, bigair, snowkite, montainboard, format race, … Autant de pratiques qui nécessitent du matos adaptés, surtout si on veut pousser un peu les choses à fond.

Sur ce marché pléthorique, il y a heureusement des grandes familles d’ailes qui permettent de regrouper certains modèles qui vont se ressembler ou, du moins, performer dans un domaine.

Manix te propose cet article genre « grosse tartine »… Si t’arrives à le lire complètement, c’est que t’es courageux. Peut-être y verras-tu plus clair.

QUELS SONT LES DIFFÉRENTS TYPES D’AILES ?

Difficile de trier tout ça, mais dans cet article, on va d’abord parler des purs C-shape, puis des ailes hybrides (ailes avec bridage comme 95 % des ailes du marché). On classera ces dernières en 4 catégories en fonction de leur shape et de leur programme (freeride, freestyle, vague et foil).

Dans la foulée, on passera vite fait sur les ailes light wind

On n’oubliera pas, bien sûr, de parler des ailes à caissons qui, à elles seules, présentent évidemment une catégorie à part entière.

 

On commence par les C-shape, qui sont les plus vieilles ailes à boudins disponibles sur le marché.

Les C-shape sont les première ailes à être arrivées sur le marché il y a une vingtaine d’années. Avant 2006, en matière d’aile à boudins, il n’y avait que ces ailes. A cette époque, elles n’avaient pas de nom, si ce n’est que c’étaient des ailes à boudins, en comparaison aux ailes à caissons.

L’appellation « C-shape » est apparue en 2006, pour les différencier de ces nouvelles ailes qui créaient, à l’époque, une vraie révolution, à savoir les ailes hybride (appelées ailes plates à l’époque ou Bow kite) au bord d’attaque sustenté, intégrant donc un bridage sur le bord d’attaque pour permettre à l’aile d’avoir beaucoup de depower, de choquer plus fort.

Ces « nouvelles » ailes bridées SLE (Supported Leading Edge) et très plates à l’époque contrastaient nettement avec les ailes classiques en C en 5 lignes. Les grosses marques ayant continué d’en proposer au catalogue, le nom C-shape est resté et défini donc toujours les ailes avec une forme en C certes (mais bon, c’est quasi le cas de toutes les ailes, me direz vous), mais sans bridage. Ces ailes sont toujours des ailes 5 lattes et, dans la grande majorité des modèles, elles se rident en 5 lignes (parfois en 4, comme la Fuel, parfois en 6 lignes comme la Chaos 2016-2017-2018 ou la Vegas en mode Hadlow seting).

La 5ème favorise le redécollage sur les grandes tailles, mais surtout joue un rôle sur la stabilisation du profil, sur le slack en déhooké et sur le pivotement du kite dans les virages. Ce sont des kites au pilotage très direct, qui sont bien adaptés pour le freestyle déhooké, le wakestyle et les kiteloop. Leur plage de vent est réduite, comparés aux autres ailes (le rendement en plage basse est nettement plus faible que les autres kite et le depower est limité). A côté de ça, les C-shape offrent un feeling en barre très précis, beaucoup de réactivité, une détente dans les lignes après le pop importante (slack), qui favorise la réalisation d’handlepass, et leur ressource en kiteloop est souvent considérée comme exemplaire. De plus, ces ailes génèrent beaucoup de tractions quand elles sont manœuvrées (ce qui donne souvent de l’amplitude aux transitions, aux relances et aux dowloop pour poser les gros saut, …). A ce propos, les C-shape offrent souvent beaucoup de lift (capacité à monter haut), mais peu de hangtime (capacité à rester longtemps en l’air), comparé aux autres kites.

Comme l’appellation C-shape a souvent été utilisée à tort et à travers au niveau marketing par certains fabricants et pratiquants, pour donner un coté « perfo freestyle » à des ailes pourtant bridées, actuellement, on parle alors de « Pur C-shape » ou de « Vrai C-shape » pour bien marquer la différence entre les ailes C-shape 5 lattes, 5 lignes en connexion directe sans bridage et les ailes Freestyle 3 lattes avec une forme assez en C, mais qui intègrent un bridage (les Open-C, on en parlera plus tard).

Il faut retenir que les C-shape sont des ailes plus ou moins exclusives en fonction des modèles, qui conviennent bien au freestyleurs et/ou aux freerideurs puristes, accro à ce genre de feeling.

Leur nombre sur le marché est petit, comparé à l’offre d’ailes hybrides, et les modèles ont l’avantage d’être largement éprouvés, en évoluant gentiment mais sûrement avec les années.

Slingshot Fuel, Duotone (ex North) Vegas, Naish Torch, Airush Razor pour les plus connues, mais aussi Carbrinha Chaos (entre 2016 et 2018), Liquid Force Hifi X, RRD Obsession Pro (maintenant Obsession MK11), Core Impact, F-One WTF, JN Primadonna, Ozone AMP (si ridée en 5 lignes), Wainman Hawaii Maniac et Peter Lynn Raw…

Ces ailes exclusives offrent beaucoup de slack et donc peu de drift (contrairement aux ailes typées vagues). Surfer avec un C-shape pur est un vrai casse tête : il faut rider bien toilé pour avoir du drift, mais faire du strapless bien toilé, c’est parfois aussi se compliquer la vie. Bref, les vrais C-shape sont très perfo dans leur domaine (freestyle déhooké, kiteloop, big air), peuvent passer pas mal en freeride, mais sont vraiment compliqués à rider en vagues (et ne parlons même pas du foil).

Passons maintenant aux ailes 4 lignes, qui intègrent un bridage au moins sur le bord d’attaque, comme 95% des ailes du marché. Là, il y a de quoi s’arracher les cheveux entre les différents modèles et parfois même au sein d’une même marque.

De manière générale, les ailes bridées (également appelées hybrides ou SLE, pour les plus anciens) offrent une bonne plage de vent et une relative polyvalence. Mais bien sûr, on retrouve dans cette grand familles des ailes aux caractères parfois radicalement différents.

On va ici, pour faire simple, les séparer en 4 catégories :

  • Les ailes freeride (freeride performance)
  • Les ailes freestyle (Open-C)
  • Les ailes vagues (drift et maniabilité)
  • Les ailes « foil » (mono latte, strutless, adaptées au vent léger et offrant une stabilité et un drift énorme).

 

Les ailes freeride (allround, ailes hybride Delta …)

Souvent très polyvalentes, construites en 5 ou 3 lattes, ce sont les ailes qui sont jugées être les plus complètes et « performantes partout », sans pour autant se diriger trop nettement dans une pratique particulière du kite.

Le principe de ces kite est d’avoir une aile très stable, au fond de puissance marqué (souvent très bonne en plage basse), avec un gros depower pour gérer les rafales, qui possède des capacités à sauter haut en planant longtemps et dont le drift est assez marqué, pour permettre les grosses abatées lors des manœuvres, mais surtout pour taper la vagues.

N.B. Drift = capacité de l’aile à reculer avec le rideur lorsqu’il « abat » (qu’il va vers son kite donc, que ce soit dans une pratique vagues, foil ou parfois plus simplement sur les long jibes). Les ailes avec peu de drift ont vite tendance à décrocher après avoir perdu toute maniabilité, lorsque le rideur se dirige vers elles. Les ailes avec beaucoup de Drift accompagnent le rideur et gardent les lignes tendues. Elles sont donc très stables et restent manoeuvrantes lors des abatées et quand on surfe une vague.

Comme dit plus haut, les ailes freeride ne sont pas très spécifique, à l’inverse d’un C-shape ou d’une pure aile de vagues. L’avantage de ces ailes réside dans le fait qu’elles sont (en fonction des modèles) performantes dans quasi tous les styles de ride (sauf le freestyle déhooké, de manière général). La capacité de redécollages de ces kites est ce qui se fait de mieux. Cela vient notamment du fait que beaucoup d’entre elles adoptent un shape « Delta », qui favorise la remontée au vent et le redécollage.

Tu cherches une aile saine, à la plage de vent étendue, pas trop technique à piloter, pour sauter haut, voire très haut ?  Tu veux également te faire plaisir dans les transitions, pouvoir te mettre aux kiteloop sans te faire peur et tu as envie de pouvoir t’en servir aussi en surf strapless, voire en foil ? Alors, c’est dans cette catégorie qu’il faut regarder.

Parmi ces ailes, tu trouves beaucoup de shape à l’aspect ratio modéré, au caractère et au comportement neutres. D’autres, à l’aspect ratio plus élevé, sont des « machines à se satelliser » avec une plus grosse vitesse de vol et un fond de puissance plus marqué (on les appelle les freeride performance).

N.B. Aspect Ratio = Allongement de l’aile. En clair, à surface égale, tu peux avoir une aile assez ramassée et de faible envergure ou, au contraire, une aile étroite avec une grande envergure.

En gros, plus l’aspect ratio est élevé, plus l’aile développe beaucoup de puissances au fur et à mesure qu’elle accélère, possède un gros hangtime, vole vite, va chercher loin le bord de fenêtre, est instable.

Plus l’aspect ratio est faible, plus l’aile accélère progressivement, choque bien, est maniable, stable, possède des bonnes capacités de dift et de redécollage.

Pour te donner une idée des ailes freeride populaires… (Attention !!! Certaines ailes sont tellement complètes qu’il est possible que tu les vois réapparaitre dans d’autres catégories ; ce qui n’enlève rien à la qualité de l’aile, que du contraire).

Ailes Freeride : Slingshot Rally et SST, Airush Lithium, Cabrinha Moto, Core Nexus, Wainman Rabbit, Naish Triad, …

Ailes Freeride performance : Core XR, Slingshot Raptor, Airush Union, Cabrinha Switchblade, Ozone Edge, Duotone Rebel et Evo, RRD Addiction, F-One Bandit, Naish Pivot, …

 

 

 

Les ailes Freestyle (Open C-shape).

Apparues il y a une dizaine d’années, c’est la Slingshot RPM qui a lancé cette tendance en 2009 et qui a été la première aile 3 lattes bridées développée pour être quasi aussi bonne en déhooké et en loop, qu’un vrai C-shape, mais tout en étant plus polyvalente et en offrant une plus grande plage de vent.

D’autres marques ont suivi, à juste titre. On parle d’Open C-shape, de « Progressive C-shape », de « Futur C », d’ailes Cybride, …

Ces ailes reprennent les caractéristiques des C-shape mais avec un bridage et un montage en 4 lignes. Contrairement au C-shape qui possèdent 5 lattes, la plupart des Open-C sont des ailes 3 lattes. Leur aspect ratio est également plus modéré (forme plus compacte). En fonction des modèles, on retrouve également des oreilles plus carrées que sur la majorité des autres ailes hybride, mais ce n’est pas une règle générale.

Dans leur comportement, ces ailes sont souvent plus maniables, mobiles, ludiques à piloter que les ailes plutôt Freeride. A la manière des vrais C-shape, elles présentent aussi souvent un rendement en plage basse un poil en retrait.

Comparativement aux ailes Freeride, elles offrent plus de slack en déhooké, un meilleur lift (capacité à monter haut), mais aussi un moins bon hangtime (capacité à rester longtemps en l’air). Elles sont également plus efficaces en loop, avec notamment plus de traction dans les loop, tout en ayant une excellente ressource (à la manière des vrais C-shape).

Bien qu’elles passent souvent pas mal en vagues, elles restent néanmoins souvent en retrait sur ce terrain, comparées aux ailes plutôt Freeride. Ce qui est logique. Si on veut du slack pour déhooker, il faut une aile qui ne dritf pas de trop. Une aile qui offre plus de drift (bien pour la vague) offre également moins de détente dans les lignes après le pop (slack).

Ailes hybride freestyle : Slingshot RPM, Core GTS, Cabrinha FX, Duotone Dice (pour les plus connues et pour celles qui sont réputées marcher fort en déhooké comparé aux autres). Mais aussi Ozone AMP, Airush Union, F-One Bandit, Liquid Force Envy, Naish Dash…

Ces ailes ont le vent en poupe, pour ceux qui ne veulent se fermer aucune porte en freestyle (excepté, peut-être, le pur wakestyle), le tout dans une plage de vent étendue. Comparées aux purs C-shape, elles sacrifient un peu le feeling en barre, mais elles sont plus accessibles, offrent une plage de vent plus étendue, peuvent looper fort et long, mais aussi court et bref. Elles sont souvent plus accessibles en loop, comparées à certains purs C, dont les loop ont un rayon de courbe souvent plus long. Mais bien sûr, ça dépend des modèles.

De plus, elles sont nettement plus accessibles en vagues, qu’un C-shape pur, grâce au depower et au drift un poil plus élevé. Note aussi que la maniabilité, à taille égale, est souvent supérieure.

Si tu as déjà de bonnes bases de pilotage et que tu cherches une aile pour faire de tout en freeride/freestyle, mais avec une aile très vive et qui, comme les C-shape purs, génère de la traction quand elle est manœuvrée pour donner de l’amplitude à tes tricks lors de relance, c’est vers ces ailes qu’il faut se tourner.

A la manière des vrais C toujours, ces ailes aiment être pilotées de manière « agressives » ou, du moins, elles tolèrent bien ce style de pilotage (contrairement à certaines ailes plus freeride, qui n’aiment pas être brutalisées).

 

 

 

Les ailes Vagues

Les ailes vagues sont, avant tout, des kite avec des grosses capacités de drift, qui possèdent beaucoup de depower, qui restent maniables si elles sont choquées et qui ne génèrent pas trop de tractions lorsqu’elles sont manœuvrées.

Sauf dans les conditions de surf side off (ce qui est rare de trouver sur nos spot), quand tu fais du surf, tu vas toujours être amené à aller vers le kite. Le pilotage de l’aile est très important en vagues et demande souvent beaucoup d’anticipation car, une fois que tu te diriges « dans les lignes » (que tu abats, descends au vent), tu perds nettement en traction du kite, mais aussi en manœuvrabilité. Si tu as mal géré ton timing niveau pilotage, tu sais difficilement récupérer le coup car l’aile est trop déventée : il n’y a plus de tension dans les lignes et quasi plus de manœuvrabilité.

C’est là que les ailes vagues se démarquent des autres. Elles restent pilotables, même avec peu de tension, et accompagnent le rider dans ses « descentes au vent ». Comme dit plus haut, le depower joue un rôle important pour neutraliser la puissance de l’aile brièvement, quand on surf la vague ou quand on veut serrer les courbes. Dans la même logique, ces ailes offrent beaucoup de pivotements, sans générer trop de tractions dans leurs virages, pour éviter de « sortir le rideur » de sa board lorsque que l’aile est pilotée avec vivacité.

Note que ces ailes, de part leurs caractéristiques, sont souvent également des bon modèles pour la pratique du foil

Et pour répondre à la question de savoir si on sait sauter avec une aile « wave », on va dire que ça dépend des modèles. Mais certaines de ces ailes permettent de se mettre des bons vols, montrant, à nouveau, le côté polyvalent des kites, de manière générale.

Drift, stabilité, maniabilité et maniabilité barre choquée et/ou lignes détendues, depower et gestion de la puissance à la demande sont les maitres-mots des kite wave.

Les modèles populaires : Slingshot SST, Airush Wave, Core Section, Naish Slash, Cabrinha Drifter, Duotone Neo, RRD Religion, Ozone Reo, Ben Wilson Vibe, HB Legion, …

 

Les ailes Foils

Quand on parle pratique foil, les ailes à caissons prennent toutes leur importance. Mais ici, on parle d’abord des ailes à boudins.

Dans la même idée, il y a des différences de pratiques et style de ride au sein des pratiquants foil et donc, ce n’est pas spécialement vers les kite cités plus bas que certains pratiquants doivent se tourner. Le gars qui fait du foil dans 10 nœuds, juste pour sauver les sessions dans le light wind, ne cherche pas du tout le même genre de kite que celui qui veut battre des record de distance, de vitesse ou encore s’aligner sur des compètes … Ici, on parle plutôt des ailes qui aident à la pratique du foil.

Ces kite reprennent les mêmes caractéristiques que les ailes typées vagues, mais poussées encore plus loin. Avec un gros travail sur l’allègement de l’aile, pour qu’elle vole et soit stable dans le light wind, mais aussi pour encore augmenter le drift.

Ces ailes sont construites souvent en 1 ou 2 lattes, voire pas de latte du tout (strutless). Leur avantage réside surtout dans leur stabilité exceptionnelle dans le petit temps. L’arrivée massive du foil sur le marché, ces dernières années, a poussé les marques à développer ces ailes, qu’on voyait encore très peu avant 2015.

Les modèles populaires : Airush Ultra, Naish Boxer, Duotone Mono, RRD Emotion, Ozone Alpha, …

Si t’arrives à cette partie de l’article, c’est que t’es vraiment engagé, courage c’est bientôt fini …

Un mot sur les ailes light wind

On vient de parler plus haut des ailes « foil » qui sont aussi d’excellente ailes pour le petit temps, que ce soit pour se balader en surf, en foil ou rider en twintip.

A côté de ça et depuis plus longtemps, il existe une série d’ailes taillées pour performer dans le petit temps.

Sans rentrer dans les détails, disons que ces ailes reprennent souvent des shape de kite freeride performances, avec des améliorations sur le poids de l’aile, le rendement, … On retrouve dans les ailes light wind des ailes à l’aspect ratio assez élevé pour augmenter leur rendement, leur vitesse de vol, le fait d’aller chercher loin le bord de fenêtre pour maximiser la remontée au vent et le hangtime pour les sauts…

Ces ailes sont souvent disponibles dans des tailles allant de 13 à 19 m.

Parmi les ailes populaires : Slingshot Turbine, Cabrinha Contra, Core XR LW, Airush Vantage, Ozone Zephyr, Duotone Juice, …

 

On arrive à la fin (ha oui déjà …). Passons aux Ailes à Caissons.

Les ailes à caissons fermés présentent une petite part de marché. Leur nombre sur les spot est en croissance depuis l’arrivée massive du foil, surtout en ce qui concerne les ailes à caissons à haut aspect ratio taillées pour performer en Foil.

Souvent boudées par les pratiquants, elles ont cependant de l’intérêt à plus d’un niveau. Stabilité et rendement dans le petit temps exemplaires. Fond de puissance et hangtime énorme. Pas besoin de gonfler ton aile … Cependant, leur pilotage reste plus technique tout comme leur redécollage. Elles s’adressent souvent à des pratiquants qui ont déjà des bonnes bases de pilotage.

Elles sont parfaites en utilisation multi-supports (Kite, Kitefoil, Snowkite, Montain Board, Buggy).

Flysurfeur et Ozone se taillent la part du marché, mais d’autres marques comme Duotone, F-One, Peter Lynn, Enata, … proposent également différents modèles d’ailes à caissons.

Voilà, t’es arrivé au bout … « Chapeau !!! » parce que c’est méga long à lire, mais je pense avoir été plus que complet …

Si t’as des question, n’hésite pas à nous contacter.

Manix